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Gaz naturel pour véhicules

Une transition pas à pas pour Transports M. Charette

Spécialisée dans le transport des résidus de bois, l’entreprise de Joliette est un exemple typique de transition souple vers le GNV, en toute tranquillité d’esprit.

Depuis quelque temps déjà, Mario Charette lorgnait les avantages du gaz naturel : tout d’abord son prix avantageux et stable, puis ses faibles émissions de gaz à effet de serre, et le confort accru qu’il procure aux chauffeurs. Mais le président de Transports M. Charette n’était pas encore prêt à investir dans une nouvelle technologie.

Il a donc choisi une adoption progressive : d’abord l’achat de deux camions à l’automne 2017, un autre durant l’hiver, puis encore deux à l’été. Après six mois, il juge l’expérience très satisfaisante.

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Même si le projet en est encore à ses débuts, les résultats sont là : nous réalisons des économies en carburant, et la stabilité des prix du gaz naturel nous permet de conclure des ententes à plus long terme qu’avec le diesel. Pour ces raisons, on aimerait avoir le plus grand nombre possible de véhicules au GNV dans notre flotte. Mais on y va prudemment, en réalisant des tests à petite échelle.

Mario Charette

Président Transports M. Charette

Cette approche est rendue possible par les services d’EBI Environnement, qui loue des camions au GNV en plus d’opérer des stations de ravitaillement un peu partout au Québec (voir notre infolettre de mars). Elle sert déjà une vingtaine de transporteurs qui, comme Transports M. Charette, souhaitent adopter le gaz naturel avec un minimum d’investissement.

Des défis, mais aussi des promesses
Pour Mario Charette cependant, l’aspect financier n’était qu’une variable de l’équation. Il voulait aussi s’assurer que le GNV serait adapté aux lourdes charges et itinéraires atypiques de l’industrie forestière.

« On utilise des remorques à quatre essieux et on couvre toutes les régions du Québec » révèle Mario Charette. « La technologie va continuer à évoluer. Même chose pour l’approvisionnement : on a ciblé nos essais autour de Trois-Rivières et de Québec, et on va tester d’autres régions à mesure que le réseau s’agrandit. On peut dire que notre adoption du GNV se fait parallèlement à la disponibilité », ajoute-t-il.

C’est précisément avec des entreprises comme Transports M. Charette que l’offre de GNV est appelée à s’accroître. Déjà, le Québec compte neuf stations publiques et très bientôt douze avec l’ajout de Laval, de Lévis et de Trois-Rivières, comme mentionné au début de l’article.

L’importance de l’accompagnement
De son propre aveu, Mario Charette n’aurait pas fait le saut si vite sans les services d’EBI.

« On connaissait très bien EBI, car on faisait affaire avec l’entreprise de diverses façons depuis longtemps. C’est vraiment notre partenariat qui nous a décidés à adopter le GNV », avoue l’entrepreneur. « EBI nous a aidés de A à Z. On nous a notamment donné une formation sur les meilleures pratiques d’opération, de conduite, de ravitaillement. Tous nos employés ont ainsi appris à travailler avec le GNV, ce qui n’est d’ailleurs vraiment pas compliqué. »

À ceux qui voudraient l’imiter, Mario Charette recommande chaudement cette forme d’accompagnement. « C’est important d’être bien appuyé, car on ne peut pas simplement acheter un camion au GNV sans savoir ce que cela implique. Je recommande la formule de location à tous ceux qui souhaitent essayer le GNV pour réduire leurs frais de carburant et leur empreinte environnementale. »

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