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Les propriétés du gaz naturel

La composition du gaz naturel

Le gaz naturel est issu de la transformation naturelle, pendant des millions d'années, de matières organiques comme les végétaux et les animaux. Cest l’hydrocarbure le plus simple dans sa composition : il est composé à 95 % de méthane, à moins de 4 % d'éthane et d'azote, ainsi qu'à 1 % de dioxyde de carbone et de propane.

Du gaz naturel renouvelable

Du gaz naturel renouvelable est aussi être créé par la valorisation des matières organiques et la biomasse forestière.

Déboulonnons les mythes sur le gaz naturel

Il n'est pas toxique

Il ne se mélange ni au sol ni à l'eau

Il ne s'enflamme pas

Il fait son chemin

Respirez par le nez : le gaz naturel n'est pas toxique

Brisons le mythe : Même si le gaz naturel sent les œufs pourris, il n'est pas toxique.

Le gaz naturel est incolore, sans odeur et sans goût. C'est un gaz qui n'est ni toxique, ni corrosif, et il ne représente aucun risque pour la santé si on le respire. Il a été démontré que c’est le manque d’oxygène dans l’air et non le gaz naturel qui peut provoquer un malaise.

Lors d’une fuite à l’intérieur d’un bâtiment, il est important d’ouvrir les portes et les fenêtres pour ventiler la pièce. En milieu fermé, la concentration de gaz naturel peut alors devenir trop importante et se substituer à l’oxygène de l’air inhalé. Il peut alors devenir asphyxiant par privation d’oxygène.

Cette situation est très rare, car le gaz naturel est plus léger que l’air. À l’air libre, le gaz naturel se dissipe rapidement dans l’atmosphère. C'est pour cette raison qu'il est important d’ouvrir portes et fenêtres si l'on soupçonne une fuite.

Pourquoi sent-il les œufs pourris ?

Le gaz naturel est inodore, mais pour des raisons de sécurité, on ajoute un odorant, le mercaptan, qui donne au gaz naturel une forte odeur d'œuf pourri. Cette odeur permet de détecter rapidement la présence de gaz naturel, même à une concentration aussi faible que moins de 1 % dans l’air.

Le gaz naturel n'est pas de nature à se mélanger au sol ni à l'eau

Brisons le mythe : Le gaz naturel ne se mélange ni au sol ni à l'eau. À l'air libre ou dans l'eau, il se dissipe rapidement.

Issu de la décomposition de matières organiques pendant des millions d'années, le gaz naturel est l’hydrocarbure le plus simple dans sa composition.

Air - Ainsi, contrairement au gaz propane, le gaz naturel est plus léger que l'air. À l'air libre, il s'élève rapidement dans l’atmosphère.
Eau - S'il se trouve en contact avec de l'eau, il ne se mélange pas et ne la contamine pas. Il fait des bulles, remonte à la surface et se dissipe rapidement dans l’atmosphère.
Sol - Lors d’une fuite de gaz naturel souterraine, il cherche à remonter à la surface par les fissures et se dissipe dans l’air, contrairement au gaz propane et aux produits pétroliers.

Le gaz naturel ne s'enflamme pas facilement. Même si vous brûlez votre déjeuner.

Brisons le mythe : Pour que le gaz naturel prenne feu, sa concentration dans l'air doit être de 5 à 15 %. Hors de cette plage d'inflammabilité, le gaz naturel ne s'enflammera pas.

Certains critères bien précis doivent être rencontrés : il faut qu’il atteigne une concentration dans l’air de de 5 % à 15 % et qu'une source d'ignition soit présente pour qu'il puisse s'enflammer. Hors de cette plage d'inflammabilité, le gaz naturel ne s'enflammera pas.

Il faut donc au moins 5 % de gaz naturel dans l’air pour qu’il puisse s’enflammer, ce qui est bien plus que l’essence ou le propane, qui s’enflamment plus rapidement.

Le gaz naturel fait son chemin

Brisons le mythe : Aujourd'hui, il n'existe pas de technologie économiquement viable pour faire rouler des camions moyens et lourds à l'électricité. Ces camions peuvent cependant se tourner vers le gaz naturel liquéfié ou comprimé pour diminuer leurs émissions de gaz à effet de serre (GES).

Le gaz naturel fait partie de la solution pour contribuer à la transition vers une économie plus sobre en carbone, notamment pour remplacer des énergies plus émissives, dans le secteur du transport lourd de marchandises et du transport maritime.

Le secteur des transports constitue le plus grand émetteur de gaz à effet de serre au Québec, avec 43 % des émissions totales de la province. Le transport routier de marchandises y contribue pour plus du tiers.

Réduction des GES dans le secteur du transport

Le gaz naturel et l'électricité : des alliés

Le secteur du transport représente à lui seul 43 % du total des émissions de GES. Le transport lourd représente moins de 4 % des véhicules sur la route, mais plus de 30 % des GES émis. Il est, à ce jour, inaccessible aux solutions électriques. Plus économique et plus propre que le diésel et l’essence, le gaz naturel, dans sa forme liquéfiée ou comprimée, est un allié pour réduire les GES dans ce secteur.

  • Jusqu’à 30 % plus économique
  • Jusqu’à 25 % moins de GES

Il n'est pas toxique

Respirez par le nez : le gaz naturel n'est pas toxique

Brisons le mythe : Même si le gaz naturel sent les œufs pourris, il n'est pas toxique.

Le gaz naturel est incolore, sans odeur et sans goût. C'est un gaz qui n'est ni toxique, ni corrosif, et il ne représente aucun risque pour la santé si on le respire. Il a été démontré que c’est le manque d’oxygène dans l’air et non le gaz naturel qui peut provoquer un malaise.

Lors d’une fuite à l’intérieur d’un bâtiment, il est important d’ouvrir les portes et les fenêtres pour ventiler la pièce. En milieu fermé, la concentration de gaz naturel peut alors devenir trop importante et se substituer à l’oxygène de l’air inhalé. Il peut alors devenir asphyxiant par privation d’oxygène.

Cette situation est très rare, car le gaz naturel est plus léger que l’air. À l’air libre, le gaz naturel se dissipe rapidement dans l’atmosphère. C'est pour cette raison qu'il est important d’ouvrir portes et fenêtres si l'on soupçonne une fuite.

Pourquoi sent-il les œufs pourris ?

Le gaz naturel est inodore, mais pour des raisons de sécurité, on ajoute un odorant, le mercaptan, qui donne au gaz naturel une forte odeur d'œuf pourri. Cette odeur permet de détecter rapidement la présence de gaz naturel, même à une concentration aussi faible que moins de 1 % dans l’air.

Il ne se mélange ni au sol ni à l'eau

Le gaz naturel n'est pas de nature à se mélanger au sol ni à l'eau

Brisons le mythe : Le gaz naturel ne se mélange ni au sol ni à l'eau. À l'air libre ou dans l'eau, il se dissipe rapidement.

Issu de la décomposition de matières organiques pendant des millions d'années, le gaz naturel est l’hydrocarbure le plus simple dans sa composition.

Air - Ainsi, contrairement au gaz propane, le gaz naturel est plus léger que l'air. À l'air libre, il s'élève rapidement dans l’atmosphère.
Eau - S'il se trouve en contact avec de l'eau, il ne se mélange pas et ne la contamine pas. Il fait des bulles, remonte à la surface et se dissipe rapidement dans l’atmosphère.
Sol - Lors d’une fuite de gaz naturel souterraine, il cherche à remonter à la surface par les fissures et se dissipe dans l’air, contrairement au gaz propane et aux produits pétroliers.

Il ne s'enflamme pas

Le gaz naturel ne s'enflamme pas facilement. Même si vous brûlez votre déjeuner.

Brisons le mythe : Pour que le gaz naturel prenne feu, sa concentration dans l'air doit être de 5 à 15 %. Hors de cette plage d'inflammabilité, le gaz naturel ne s'enflammera pas.

Certains critères bien précis doivent être rencontrés : il faut qu’il atteigne une concentration dans l’air de de 5 % à 15 % et qu'une source d'ignition soit présente pour qu'il puisse s'enflammer. Hors de cette plage d'inflammabilité, le gaz naturel ne s'enflammera pas.

Il faut donc au moins 5 % de gaz naturel dans l’air pour qu’il puisse s’enflammer, ce qui est bien plus que l’essence ou le propane, qui s’enflamment plus rapidement.

Il fait son chemin

Le gaz naturel fait son chemin

Brisons le mythe : Aujourd'hui, il n'existe pas de technologie économiquement viable pour faire rouler des camions moyens et lourds à l'électricité. Ces camions peuvent cependant se tourner vers le gaz naturel liquéfié ou comprimé pour diminuer leurs émissions de gaz à effet de serre (GES).

Le gaz naturel fait partie de la solution pour contribuer à la transition vers une économie plus sobre en carbone, notamment pour remplacer des énergies plus émissives, dans le secteur du transport lourd de marchandises et du transport maritime.

Le secteur des transports constitue le plus grand émetteur de gaz à effet de serre au Québec, avec 43 % des émissions totales de la province. Le transport routier de marchandises y contribue pour plus du tiers.

Réduction des GES dans le secteur du transport

Le gaz naturel et l'électricité : des alliés

Le secteur du transport représente à lui seul 43 % du total des émissions de GES. Le transport lourd représente moins de 4 % des véhicules sur la route, mais plus de 30 % des GES émis. Il est, à ce jour, inaccessible aux solutions électriques. Plus économique et plus propre que le diésel et l’essence, le gaz naturel, dans sa forme liquéfiée ou comprimée, est un allié pour réduire les GES dans ce secteur.

  • Jusqu’à 30 % plus économique
  • Jusqu’à 25 % moins de GES